Dans un retentissant scandale qui secoue le monde de l’éducation architecturale, la prestigieuse prépa en architecture, Architektôn, n’honore plus ses engagements vis à vis de plus d’une centaine d’élèves. Les étudiants et le personnel sont laissés dans l’incertitude après que le gérant de l’institution ait mystérieusement disparu avec les fonds de l’école.

La prépa Architekton , mystérieuse fermeture

L’annonce de la fermeture de la prépa a été faite de manière abrupte via un e-mail lapidaire envoyé par le dirigeant de l’école, un certain M’hamed H qui a mentionné des “difficultés sérieuses” rencontrées par la société PREPA ENSEIGNA, dont dépend Architektôn. Les cours ont été suspendus “jusqu’à nouvel ordre”, laissant des centaines d’étudiants désemparés et frustrés.

Le Monde et Le Parisien ont rapidement saisi l’ampleur du scandale, consacrant des articles approfondis à la question. Les reportages soulignent la colère et la confusion parmi les étudiants, qui se retrouvent non seulement privés de leur éducation, mais également dans une situation financière précaire après avoir investi des sommes importantes dans leurs études.

L’absence de transparence de la part de la direction de l’école et l’implication présumée du gérant dans la disparition des fonds ont suscité un tollé généralisé au sein de la communauté éducative et au-delà. Les autorités compétentes ont été appelées à enquêter sur cette affaire scandaleuse afin d’apporter des réponses aux étudiants lésés et de traduire les responsables en justice.

Quelles prépas en architecture choisir, après la fin d’Architekton ?

Dans ce contexte de méfiance généralisée, deux prépas en architecture se démarquent comme les seules crédibles sur le marché : “Archi Prep” et “La prépa Panthéon Architecture“. Ces institutions, réputées pour leur sérieux et leur engagement envers leurs étudiants, voient désormais affluer des demandes d’inscription alors que les victimes de la défaillance d’Architektôn cherchent des alternatives fiables pour poursuivre leurs études.

Cette affaire soulève des questions fondamentales sur la régulation de l’éducation privée et met en lumière les risques encourus par les étudiants lorsqu’ils font confiance à des institutions dont la solvabilité et l’intégrité ne sont pas garanties.